Publication d’une revue de la littérature sur l’état des lieux de l’imagerie de l’endométriose et de l’adénomyose dans la revue internationale Minerva Obstetrics and Gynecology, avec notre équipe de radiologues et de gynécologues à Paris, Hotel Dieu et Port Royal. 
https://www.endofrance.org/tribune-dendofrance-parue-dans-le-parisien-aujourdhui-en-france-pour-un-plan-de-sante-national-contre-lendometriose/
L’endométriose est une pathologie de la femme en âge de procréer fréquente,
polymorphe, pouvant être responsable de douleurs, et/ou d’infertilité. Les
localisations des lésions endométriosiques peuvent être variables. Elles peuvent
toucher les ovaires, les trompes, le péritoine, mais également le système digestif,
urinaire, nerveux, le diaphragme, ou la paroi. Il existe 3 phénotypes principaux :
endométriose péritonéale superficielle, endométriose profonde infiltrante, et
endométriomes (kystes endométriosiques ovariens). Chaque forme peut exister
indépendamment ou coexister. L’endométriose superficielle est la forme la moins
sévère de la maladie. Elle est la plupart du temps difficile à visualiser car les lésions
sont de faible taille, millimétrique, et peu fibreuses.
Un protocole IRM précis et adapté est recommandé afin d’établir un diagnostic précis
et exhaustif des lésions d’endométriose.
Article de la revue du praticien.
https://www.larevuedupraticien.fr/article/protheses-mammaires-quelle-surveillance-radiologique
Congrès Infogyn
Amenorhée des femmes jeunes et des adolescentes, troubles des règles.
Les voies lacrymales sont constituées par
-les canalicules lacrymaux inférieur et supérieur
-le sac lacrymal
-le canal lacrymonasal
Elle permettent l’écoulement des larmes depuis l’angle interne de l’œil, jusque dans le nez.
L’exploration radiologique est essentiellement réalisée par le dacryoscanner, ou scanner des voies lacrymales, après opacification par du produit de contraste iodé.
