L’endométriose est une maladie parfois responsable de douleurs, et d’infertilité. Elle est liée à la fois des zones hémorragiques, superficielles ou profondes, ou à des kystes ovariens (endométriomes), e àt des zones de fibrose ou d’inflammation.
A l’heure actuelle, le diagnostic d’endométriose repose sur une collaboration entre différentes spécialités. Ce diagnostic reste difficile et en moyenne, il faut malheureusement encore aujourd’hui 8 ans pour que le diagnostic d’endométriose soit posé en France.
La clinique est fondamentale, basée sur l’examen clinique et l’interrogatoire soigneux de la patiente.
A l’issue de ce bilan clinique et en cas de suspicion d’endométriose, des examens d’imagerie pourront être demandés afin de confirmer le diagnostic mais aussi de préciser l’extension de la maladie.
L’échographie pelvienne et l’IRM apportent des informations différentes et complémentaires.
La réalisation de ces deux examens est à discuter en fonction du type d’endométriose suspecté, de la stratégie thérapeutique envisagée et de l’information à donner à la patiente. Le compte rendu des examens (IRM ou échographie) doit décrire la taille des lésions ainsi que les localisations anatomiques de l’endométriose visibles sur l’examen.
Ces lésions d’endométriose peuvent être difficiles à voir et dépister, même pour des médecins spécialistes de cette maladie.
Optimisation des examens pour endométriose
Toujours RAMENER LES ANCIENS EXAMENS.